Qu’est-ce qu’un raisonnement systémique ?

vision

Quand il s’agit de réfléchir nous avons tous nos oeillères, nos modèles de pensée qui réduisent la réalité à quelque chose que l’on connait et que l’on a « taggé » en « j’aime », « j’aime pas », « c’est terrible mais c’est comme ça », « de toutes façons ça se termine toujours de la même manière »,… On pourrait qualifier ce raisonnement basique d' »analytico-connotatif ».

Cela peut sembler caricatural or c’est bien souvent ce qui se passe.  Le mode de raisonnement est dit analytique : face à un objet observé je me positionne et y projète une grille d’analyse produit de ma culture et de mon contexte psychologique.  Cette démarche considère que ma simple relation à l’objet est suffisante pour en tirer du sens.

La démarche systémique est toute autre.

Pour tenter d’en comprendre l’approche il faut intégrer un certain nombre de principes.

Tout d’abord la réalité n’existe pas (et donc essayer de l’identifier  n’a au mieux aucun intérêt). Si cette réalité n’existe pas c’est parce que la représentation qu’on se fait d’un objet dépend du point de vue de l’observateur. Comme il ne peut pas y avoir une même perception, il ne peut donc pas y avoir deux représentations mentales identiques d’un même objet.

La neutralité et l’objectivité n’ont donc pas de sens. Ce qui compte c’est d’identifier le plus de réseaux d’interdépendances possible.

L’analyse de l’objet ne peut se faire que par l’analyse des relations du système dans lequel il s’inscrit. L’analyse de l’objet pour lui-même n’a donc aucun intérêt puisqu’il n’a de sens que dans l’interaction. D’ailleurs s’il est isolé… il meurt. En revanche s’il s’adapte, contribue ou s’oppose…

L’analyse qu’on produit d’un système est nécessairement intentionnelle et donc orientée pour plusieurs raisons :

– l’exhaustivité des paramètres à intégrer à la réflexion est impossible,
– le besoin humain consistant à rechercher la cohérence pousse à réduire la (ou les) contradiction(s) principale(s) en analysant après coup l’impact de ce changement,
– comme il n’y a pas de sens de l’histoire, il n’y a pas d’intention à un système mais des rapports de forces des relations entre les parties.
– un système n’est pas autonome mais dépendant des autres systèmes.

La systémique emprunte des concepts et des modèles à de multiples disciplines (physique, sociologie, psychologie, sémiotique, mathématiques,…).

 

Innover n’est pas jouer

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Une fois que la décision est prise d’innover… Il faut choisir une façon de faire…

Et là il y a plusieurs écoles :
– celle qui mise tout sur l’humain : si on met tout le monde ensemble pendant plusieurs jours il finira bien évidemment par se passer des choses extraordinaires car l’homme est extraordinaire,
– celle qui ne voit que par les outils car au fond si on ne sait pas quoi faire on pourra toujours apprendre à s’en servir comme ça on ne pourra pas reprocher de n’avoir rien fait…
– celle qui utilise un microscope pour tenter de faire une photo panoramique et qui ne comprend pas pourquoi ça ne donne rien,
– celle qui, dans une volonté de développement durable, a bien l’intention de recycler toutes les vieilles idées inutilisées,
– …

Nous pensons qu’avoir un solide process permet de tirer le meilleur des participants. Nous pensons aussi que c’est par le traitement méthodique et collectif d’un grand nombre de données que l’on arrive à identifier des opportunités transformables peu à peu en offres,  en modèles économiques puis en systèmes et enfin en projets.

SG-HIVE est une approche globale. Elle vous permettra de construire des réponses complexes adaptées à un monde qui l’est tout autant.

 

 

Pourquoi il ne sort jamais rien des commissions ?

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Faire travailler un groupe pour trouver de nouvelles idées…  Vaste programme !

Il y a ceux qui se documentent à fond pour « nourrir le groupe » quitte à le gaver…

Il y a ceux qui veulent segmenter la problématique pour la traiter en morceaux… le problème c’est que ce sont toujours les mêmes morceaux avec la même matière…

Il y a ceux qui planifient le contexte par peur du contenu…

Il y a les exaltés par leur dernière lecture… une méthode que l’on doit suivre ligne par ligne si on veut solutionner tous les problèmes.

Il y a ceux qui ont des salles virtuelles high-tech dans lesquelles tout est possible… mais comme il n’y a pas de mode d’emploi… ils s’en servent de simples espaces de projection…

Si vous ne voulez pas perdre de temps et tirer profit de toutes les compétences… Il y a l’outil collaboratif d’aide à la décision SG-HIVE.

Et si les entreprises étaient artificielles ?

Dans sa théorie économique Adam Smith ne parle jamais d’entreprise. Il y a seulement un marché à savoir un tissu de relations d’échanges entre individus. Quand on regarde dans l’histoire ou même dans les différentes civilisations on voit bien par exemple que les égyptiens qui ont construit des pyramides étaient libres et indépendants, chez les inuits, les touaregs et les peuples d’Amazonie inutile d’entreprises pour faire fonctionner la société.

En fait notre vie à tous points de vue (personnelle, spirituelle, économique, sociale, politique,…) est avant tout une construction mentale qui nous structure et peut même nous emprisonner. Pour nous rassurer et nous rendre compréhensible et contrôlable une réalité par nature complexe, nous construisons un modèle mental idéal. Toute notre économie repose sur les entreprises et donc il y a deux façons de relancer l’économie : par l’offre et par la demande.

Or nous en avons vu quelques unes plus haut, il existe un très grand nombre de façon de créer de la valeur autres que par les entreprises. Mais il ne faut pas confondre « créer de la valeur » et « faire de la croissance ». Dans un monde aux ressources limitées le gaspillage nécessaire à la croissance n’a qu’un temps. Construire de la valeur c’est ménager une marge suffisante dans les modes de fonctionnement et d’interactions économiques entre les acteurs pour que chacun y trouve sa place, puisse vivre « … et construire du sens ».

Aujourd’hui

– on dérégule les accès et les collectes des ressources. Qu’elles soient d’ailleurs naturelles, personnelles (données), humaines (travail),…
Cela conduit nécessairement vers une surexploitation des ressources jusqu’à épuisement.

– on centralise les pouvoirs, les données, … entre les mains de grands groupes.
Cela conduit à une limitation de nos libertés et de nos capacités à adapter le système à nos besoins.

A terme tout ce qui faisait vivre des millions d’indépendants (taxi, avocats, plombiers, notaires, médecins, menuisiers,…) sera contrôlé par les grands groupes (pour les marchés lucratifs). On n’interdira pas  à ces indépendants d’exercer leurs métiers simplement ils devront satisfaire à tellement d’obligations (normes, assurances, certifications,…) qu’ils ne pourront plus exercer. Les marchés appauvris par les modèles gratuits (locations diverses, hôtellerie, transports,…) n’intéresseront les grands acteurs que sur la position d’intermédiaires (Airbnb, covoiturage, …).
La solidarité (santé, chômage, vieillesse,…) présentées à toute la société par des « économistes » libéraux comme une charge inacceptable sera réduite au détriment de tous.

Autrement dit soit nous considérons la société comme une masse qu’on vend au kilo, quand elle a encore un peu de valeur et n’est pas considérée comme une charge. Soit on essaie de tirer profit de cette diversité pour créer une multitude de nouvelles interactions (seul moyen de créer de la valeur). Or pour créer ces interactions et éviter les tentations de puissance (et de monopole) il faut de petites unités. Un peu comme un organisme vivant.

A lire cet excellent article

Mutualiser n’est pas créer

On est passé très rapidement d’un économie basée sur le principe de vendre un bien ou un service à un client (s’il s’agissait de nos propres produits ou services on était producteur ou prestataire ; s’il s’agissait de revente on était intermédiaire) à une économie de plus en plus basée sur le client.  Il ne s’agit plus de lui vendre ce que l’on a ou ce que l’on sait faire mais de prendre une marge sur ce qui l’intéresse et que d’autres se proposent de faire.  Et comme la concurrence est rude ces « producteurs ou prestataires finaux » réduisent de plus en plus leur marge. Dans un premier temps ils n’en souffrent pas parce que comme ils disent « c’est un complément ». Seulement voilà ces compléments sur lesquels on est prêt à consentir de grosses baisses car « on n’en vit pas » attaquent maintenant la majeure partie de l’économie : transport, location de matériels, enseignement, conseils, services, produits (certains sites vous proposent maintenant les fichiers pour réaliser un produit ou un meubles avec des imprimantes ou des moyens mutualisés seul ou assisté),…

Or ce n’est pas la mutualisation de moyens qui crée de la valeur (c’est toujours ce que l’on fait en temps de crise). Ce qui crée de la valeur c’est de vendre quelque chose plus cher que ce que ça nous a coûté à produire, distribuer,… pour en dégager une marge suffisante pour rétribuer une équipe,  payer ses charges (et donc financer l’entretien des routes, la solidarité,…)  et financer son développement. Or il n’est pas question de cela dans la majeure partie des mutualisations.

La mutualisation est le même mirage que le modèle économique de la gratuité. Il ne profite qu’à ceux qui sont tout en haut de la pyramide parce que dans le premier cas quelque soit le montant ils en tirent un pourcentage, dans le second cas ce qui a un prix c’est hyperfichage de des clients (le client devient le produit qu’on vend à d’autres). Dans les deux cas tous les acteurs intermédiaires s’appauvrissent. Ce qui est dramatique c’est que progressivement ce qui a de la valeur sur un marché hyper-concurrentiel de crise ce n’est plus l’humain qui devient quasiment interchangeable (sa force, ses compétences, son expérience) ce sont les outils qu’il serait trop couteux d’acquérir ou de louer dans le système traditionnel.

Le système est très pervers car dans un premier temps chacun est bien heureux de payer moins cher et s’y habitue tellement vite qu’il refuse catégoriquement de payer à nouveau le vrai prix comme avant.

En fait la mutualisation considérée individuellement est une condamnation à l’appauvrissement généralisé. La mutualisation doit être au sein d’un système savant de contreparties, ne doit porter que sur certains moyens et services dans la mesure où cela sert à créer un système de valeur intéressant un grand nombre de parties prenantes et qu’aucune n’aurait pu constituer seules.

Ce sont ces modèles combinatoires que SG-LINKS vous aide à élaborer.

L’intention du geste

En cette période de Noël et avec les difficultés économiques que nous connaissons cette expression va être très utilisée pour justifier du petit cadeau.

Mais qu’est-ce que cette expression veut dire au jute ?

Le Littré nous dit que cela vient du latin « intentio : action de tendre l’esprit, et par suite mouvement de l’âme par lequel on tend à quelque fin. »  Autrement dit, surtout dans notre monde occidental, l’intention serait une construction mentale.

J’ai eu la chance d’avoir comme Maître d’armes Jean-François Di Martino qui me disait tout le temps : « Le plus important c’est l’intention du geste ». Et il ajoutait « l’intention c’est en même temps dans la tête et dans le corps c’est pour ça que quand on apprend il faut travailler très vite pour ne pas laisser l’un ou l’autre prendre le dessus. » Une fois qu’on a capté dans sa tête et dans son corps l’intention du geste alors on peut réduire la vitesse pour apprendre la technique.  La technique sans intention reste un simple moyen.

Retranscrit à l’entreprise on voit bien que l’intention du geste c’est quelque chose qui dépasse le fait de réfléchir au développement d’un nouveau produit ou service en passant en revue les fonctions qu’il doit avoir.

En fait l’intention du geste en innovation pourrait se résumer à qu’est-ce que je voudrais faire avec qui et pour qui et que nous sommes incapables de réaliser seuls dans nos coins ?

 

 

 

Est-ce qu’une carte dit où on doit aller ?

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Le fait que le mindmapping prenne du temps à conquérir de nouveaux adeptes face à une approche de présentation classique type Powerpoint semble tout à fait logique.

Powerpoint est un outil de mise en spectacle de ce que l’on a à présenter. Le spectateur est maintenu dans une posture passive d’observation d’éléments mis en images. Une mise en scène un peu particulière car elle répond à sa propre logique. Autrement dit que vous ayez un plan logique ou illogique, le spectacle aura lieu tout de même… Et il est rare qu’on relève et encore moins qu’on vous en veuille d’avoir mal construit votre démonstration.

Les logiciels de mindmapping sont des outils exploratoires qui consistent à partir d’un sujet et à l’explorer, l’expliquer, le synthétiser sous ses différents aspects. On est donc moins dans le process démonstratif que dans une démarche d’exploration des différentes dimensions du sujet. La limite du mindmapping c’est que le déploiement de cette complexité peut s’arrêter simplement au constat.

Le mindmapping permet d’articuler une analyse et/ou une construction. C’est un très bon début mais on peut aller encore plus loin en mettant sa puissance graphique au service de principes d’articulations logiques. Pour le coup on devient exhaustif et structuré dans la démarche d’exploration et de construction. C’est dans cette optique que nous travaillons chez SG-LINKS : vous fournir une structure logique pour dépasser le simple constat et  vous permettre d’aller jusqu’au bout de vos idées d’innovation.

 

Le meneur et l’expert

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Il est très rare qu’un groupe soit auto-géré. Il y a toujours un ou plusieurs leader(s), des organisateurs, des créatifs en retrait,…

L’expert c’est celui qui a déjà vu beaucoup de choses et qui se croit donc investi de la mission de livrer tout de suite la solution et en général « la » seule possible. Il est souvent très difficile de gérer les experts qui « stérilisent » rapidement toute initiative de « naïf ».

Le meneur quant à lui est quelqu’un qui n’a pas la solution comme l’expert mais il a LA méthode pour y parvenir. En général il utilise la même méthode quelque soit le problème à traiter.

Si le premier agace les participants, le second les rassure plutôt même si cela les amène bien loin d’où ils avaient prévu d’aller au départ.

En fait cela répond à des atttitudes ancrées depuis l’enfance. Chacun souhaite apprendre donc progresser et contribuer à un projet collectif qui lui donne le sentiment d’appartenir à un groupe et d’avoir une utilité. A l’opposé de cette démarche la parole et la solution de l’expert renvoient les participants à l’autorité parentale qui sait. Cette relégation des personnes à l’état d’impuissance et d’incapacité n’est plus acceptable aujourd’hui par les participants. Voilà notamment pourquoi les rapports d’experts sont si peu considérés et si peu appliqués. A l’opposé de cela les leaders sont suivis parce qu’ils entrainent à agir, à trouver sa place dans le mouvement collectif.

Chacun veut contribuer. S’il contribue il se sent reconnu. S’il se sent reconnu il s’implique.

Mais peu à peu on ne fait plus confiance à l’expert dont les lobbys achètent souvent les conclusions et aux leaders parce que leur seul objectif est d’utiliser les autres pour se hisser le plus haut possible.

On en est donc à l’étape du collaboratif ! Tout le monde veut contribuer et parle et après on essaie d’y mettre de l’ordre.

Peut être peut-on passer maintenant à l’étape suivante : co-construire avec méthode des projets bâtis sur de solides modèles économiques ? Non ? Qu’est-ce que vous en dites ?

Réseaux sociaux : divertissement ou outil de travail ?

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Les réseaux sociaux s’appuient sur un besoin humain central qui est l’appartenance. Au-delà d’une nécessité affective, c’était bel et bien pour l’homme préhistorique un besoin vital : se retrouver seul c’était être sûr de mourir. Nous n’en sommes plus là aujourd’hui mais on peut dire que ce besoin d’appartenance bien ancré en nous se traduit toujours sous différentes formes :

  • L’appartenance sélective (clubs par cooptation) : ce qui donne de la valeur au groupe c’est le fait que tout le monde ne peut pas y entrer. On est entre nous.
  • L’appartenance fonctionnelle (dans le cadre de travail par exemple) : les codes (politesse notamment) et rites sont là surtout pour préserver l’ordre social.
  • L’appartenance expressive (réseaux sociaux) : on appartient parce qu’on participe (en postant, likant,…). Il s’agit moins de construire un raisonnement, une action que de « réagir à ». De ce fait beaucoup croient appartenir à quelque chose car ils peuvent participer à minima (like) ce qui est difficilement possible dans les autres modes sociaux (on ne peut pas dire constamment « j’aime ce que vous dites » pour montrer qu’on est bien présent même si on n’a rien d’autre à dire).

Les réseaux sociaux sont bien évidemment basés sur ce besoin fondamental. Les échanges entre les membres ont pour première fonction d’entretenir la connexion entre eux et l’existence de chacun. Ainsi même si on ne publie rien sur sa page on a tout de même besoin de liker ou de partager pour montrer qu’on existe toujours parmi le groupe. C’est ce qu’on appelle en linguistique la fonction phatique : entretenir le lien, la connexion sans plus de sens.

Les professionnels diront que les réseaux sociaux servent à faire de la veille. Il est évident que plus le cerveau est alimenté par des nouvelles données , plus il peut les traiter et faire des liens entre elles et entre les personnes.

Mais alors nous devrions tous être extrêmement innovants puisque nous avons accès à énormément d’informations !

Oui et non…

En fait si le volume de données et de connexions a considérablement augmenté, notre filtre de traitement est resté le même.  Jean de la Fontaine l’a fort bien résumé : « Chacun croit aisément ce qu’il craint et ce qu’il désire ».

Notre traitement des données et des relations n’est pas rationnelle.  Nous saisissons ce qui nous parait être des opportunités à condition que les données entrent bien dans notre grille d’analyse. Nous nous agglomérons immédiatement autour de causes, de centres d’intérêt jusqu’à la prochaine stimulation.

Si nous participons nous sommes surtout observateurs de ces réseaux sociaux. Aussi pour finir nous allons parcourir 4 postures d’observation :

– l’exposition : ce qui se donne à voir aisément, ces articles qui titillent notre curiosité et qui se laissent très vite appréhender dans leur globalité.

– l’obstruction : ce qui est masqué, insaisissable (ou que l’on croit insaisissable) et que l’on souhaite pourtant percer. Ce sont les obstacles que l’ont rencontre et qui nous empêchent d’accéder à…

– l’inaccessibilité : ce qui se refuse à l’observateur, ce qui sort de son cadre de compréhension et de ses repères. L’observateur doit alors abandonner son cadre conceptuel pour adopter celui de l’autre.

– l’accessibilité : Ce qui demande un effort pour être compris mais qui ne demande pas de remise en cause profonde de son cadre conceptuel.

Les deux premières postures sont les plus aisées et vont souvent de paires avec une face passive (exposition) et une réaction-active (l’obstruction : fantasmer et parler sur ce qui se cache derrière). Les deux autres demandent beaucoup d’efforts : intellectuels pour l’accessibilité  ; socio-culturel-construction psychologique pour l’inaccessibilité.

Les réseaux sociaux comme internet en général, dans son immédiateté, favorise et sur-développe les deux premières postures or l’innovation nécessite de sortir de ses réflexes et donc de sortir des cadres (à minima « accessibilité » et surtout « inaccessibilité ». Ils ne peuvent donc être que des moyens de rencontrer l’autre.

Qui suis-je ?

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Quatre phases à ma carrière :

  • les études de marketing stratégique pendant dix ans pour les médias nationaux, l’industrie et les institutions,
  • les stratégies régionales d’innovation et de développement économique à l’échelle régionale (Aquitaine),
  • les processus numériques d’innovation (optimisation de méthodes, écriture de progiciels et pilotage du développement),
  • le pilotage de collectifs d’innovation (innovation et prospective pour 47 centres de formation en France puis transfert sur la thématique de l’agroécologie entre enseignement secondaire, école d’ingénieurs et recherche INRAE).

Stéphane Goubet